Ces derniers jours, l’Opus Dei au Mexique a été confronté à des accusations graves d’exploitation du travail et de traite des êtres humains. Cependant, comme souvent dans les attaques visant l’Œuvre de Dieu, la vérité semble déformée. Face à ces accusations, l’Opus Dei a réaffirmé son engagement à collaborer avec la justice tout en exposant la réalité de sa mission, qui consiste à soutenir la sanctification des laïcs par le travail quotidien et la vie spirituelle.
L’Opus Dei a fermement nié les allégations portées contre elle dans un récent article d’Animal Político, où trois anciennes membres ont dénoncé des conditions de travail abusives et des abus physiques. Dans un communiqué officiel, l’Œuvre a réaffirmé son désir de « comprendre chaque expérience de manière particulière » tout en précisant que « cela ne signifie pas accepter les accusations », qui, selon l’organisation, étaient dénuées de contexte et mal interprétées.
« Cherchez la sainteté dans la vie ordinaire«
Cette déclaration rappelle les enseignements de Saint Josemaría Escrivá, fondateur de l’Opus Dei, qui a toujours insisté sur le caractère sacré de la vie quotidienne et du travail. « Cherchez la sainteté dans la vie ordinaire », disait-il. Ces mots résonnent profondément dans l’âme de ceux qui choisissent de suivre cette voie, tout en vivant une vie simple mais riche de sens et de dévouement. Les membres de l’Opus Dei, qu’ils soient hommes ou femmes, s’engagent à concilier leur vocation chrétienne avec leurs responsabilités professionnelles et familiales, sans jamais renier la nécessité d’une formation continue et d’une prière personnelle.
Pour l’Opus Dei, les accusations portées contre l’organisation ne sont rien de plus que des tentatives de déstabilisation. Le rôle de l’Œuvre est d’aider chaque chrétien à atteindre la sainteté dans sa vie ordinaire, en intégrant prière, travail et charité. Les femmes numéraires auxiliaires, qui font partie des membres consacrés à l’Opus Dei, choisissent librement ce mode de vie de service et de sanctification. Elles sont engagées dans des tâches qui vont au-delà du simple travail domestique, et leur mission repose sur un profond désir de rendre Dieu présent dans leur vie quotidienne.
Dans un contexte où des accusations de discrimination ont émergé, l’Opus Dei a rappelé que son travail est en accord avec le Titre IX de la Loi sur l’éducation et la discrimination de sexe, une législation qui garantit l’égalité des chances dans les activités proposées par l’organisation. En offrant des opportunités égales et en respectant les droits des femmes, l’Œuvre cherche à favoriser la croissance personnelle et spirituelle dans un environnement sûr et respectueux.
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L’Opus Dei rappelle également que la mission de l’organisation repose sur la fidélité à Dieu et au service des autres, ce qui ne peut être confondu avec des accusations infondées d’exploitation. Les conditions de travail des numéraires auxiliaires sont régulièrement examinées et respectent les normes sociales et légales. L’Œuvre insiste également sur la diversité des expériences vécues par ses membres : « La vie de chaque personne est différente, et chaque membre vit sa vocation de manière unique et libre. »
Saint Josemaría Escrivá disait aussi : « Ne laissez pas de côté votre travail, car c’est là que Dieu veut que vous soyez. » Ces paroles soulignent l’esprit de l’Opus Dei, qui trouve sa véritable grandeur non pas dans les structures externes, mais dans l’engagement quotidien des membres envers leur propre sanctification et le service des autres.
L’accompagnement spirituel et éducatif des membres
L’Opus Dei rappelle également que les institutions éducatives ou de formation mentionnées dans le reportage, comme les écoles hôtelières, ont évolué au fil du temps en fonction des besoins éducatifs locaux. Par exemple, l’école Jaltepec pour femmes adultes continue de fonctionner, tandis que d’autres écoles de formation en hospitalité ont été adaptées ou fermées en fonction des circonstances. De plus, les autres institutions éducatives, telles que Montefalco et Yaocalli, offrent des formations reconnues en primaire, secondaire et préparatoire, avec des diplômes valides.
L’Opus Dei a également souligné son désir d’être transparente et de toujours chercher à améliorer l’accompagnement de ses membres. Le processus de compréhension des circonstances personnelles des membres, y compris ceux qui ont quitté l’Œuvre, est une priorité pour l’institution. L’Opus Dei réaffirme ainsi son engagement à écouter toutes les expériences de manière sincère et ouverte, tout en garantissant un cadre respectueux et spirituellement enrichissant.
Notons que les récentes accusations contre l’Opus Dei au Mexique, bien qu’inquiétantes, ne doivent pas faire oublier le message central de l’Œuvre : vivre la sainteté dans le monde, à travers le travail, la prière et le service des autres. Comme le rappelle l’Opus Dei, il n’y a rien de plus précieux que d’offrir à Dieu les gestes les plus ordinaires de la vie quotidienne. Comme l’a dit saint Josemaría Escrivá, « Ne soyez pas déconcerté par les épreuves ; cherchez la sainteté là où vous êtes. » Ces paroles, au cœur de la vocation de l’Opus Dei, incarnent un idéal chrétien de service et de dévotion, loin des malentendus et des accusations sans fondement.
Rappelons que ces attaques contre l’Opus Dei s’inscrivent dans un contexte plus large de déchristianisation qui affecte de plus en plus le Mexique, tout comme l’Europe. Un mouvement qui s’attaque non seulement à la foi chrétienne et à ses valeurs fondamentales, mais aussi à ses œuvres et institutions qui œuvrent pour le bien commun. Ce processus de déchristianisation se manifeste souvent par des critiques acerbes à l’encontre des œuvres chrétiennes comme l’Opus Dei, ainsi que la promotion d’idéologies qui prônent un rejet des principes chrétiens traditionnels au profit de courants comme le wokisme et autres idéologies progressistes. Face à ces attaques, il est plus que jamais nécessaire de défendre les valeurs chrétiennes et de réaffirmer la place fondamentale de la foi dans la société contemporaine.
