Le libertaire et pro-vie Javier Milei a remporté dimanche 19 novembre les élections présidentielles en Argentine avec une victoire écrasante, battant son rival, le kirchnériste et ministre de l’Économie Sergio Massa, de plus de onze points de pourcentage. Les résultats parlent d’eux-mêmes : taux de participation de 76,31 %, votes en faveur de Milei à 55,69 % et seulement 44,3 % pour Massa, malgré les efforts du deep state pour maintenir les péronistes et les socialistes au pouvoir.
Les tensions internes et la déception du président en exercice, le péroniste Alberto Fernandez, sont telles que la réunion prévue avec Javier Milei pour la transition, prévue pour lundi, est restée en suspens sans fixation d’une date ultérieure.
« Aujourd’hui commence la reconstruction de l’Argentine », a déclaré Milei la nuit des élections, avant de la qualifier de « nuit historique » pour la nation…
Les Argentins ont rejeté précisément ce modèle de socialisme populiste, assistancialiste, étatiste et éthiquement vendu aux lobbyistes américains des multinationales de l’avortement et de la communauté LGBT, dont ces caudillos sont les représentants.
Il n’y aura pas de surprises en politique étrangère, le vainqueur Milei a annoncé que ses deux premières destinations, dès les prochains jours, avant même d’assumer la présidence de l’Argentine le 10 décembre prochain, seront les États-Unis et Israël.
Les relations de Milei avec le Vatican ne sont certainement pas celles des péronistes, confirmées et instrumentalisées même en campagne électorale par Segio Massa, cependant Javier Milei aura le bon sens de promouvoir un climat de connaissance mutuelle, de respect et de confiance, en valorisant également le message de l’archevêque argentin Oscar Ojea, qui a célébré la « journée démocratique » et a demandé au « Seigneur d’éclairer » le président élu, Javier Milei.
Milei et son gouvernement, grâce au large consensus obtenu, peuvent agir dès maintenant pour rétablir le droit à la vie du fœtus, les politiques familiales et les droits à la liberté et à la parentalité dans le domaine de l’éducation, nécessaires et suffisants pour développer le capital humain du pays.
adapté de Nuova Bussola