Dans la cathédrale Sainte-Marie, la plus grande d’Autriche une statue scandaleuse, nommée “Crowning” d’Esther Strauß, était exposée depuis la fin juin, cette statue était une représentation impie et blasphématoire de la Sainte Mère. Cette œuvre odieuse, osant montrer Marie “nue du ventre jusqu’en bas, les jambes écartées en acte d’accouchement”, était une insulte directe à la piété catholique et à la dévotion envers la Reine des Cieux.
Comment ose-t-on transformer une cathédrale, un sanctuaire sacré érigé pour la gloire de Dieu, en un théâtre portant l’idéologie LGBT et notamment l’égalité des genres? Cette exposition, prétendant enrichir le dialogue sur des questions sociétales, inclut même des thèmes trans, une provocation supplémentaire aux yeux de notre foi catholique.
Le vandalisme qui a frappé cette statue , bien que condamnable mais compréhensible ne doit pas occulter le blasphème initial. Nous devons nous interroger sur la limite entre la liberté artistique et le respect sacré. Pour nous, catholiques fidèles, la Vierge Marie est sacrée, la mère de Dieu, et toute représentation artistique doit respecter cette vérité profonde de notre foi.
Cette affaire révèle les conflits entre l’art contemporain dénaturé et les valeurs sacrées immuables de notre Église. Nos lieux saints ne devraient jamais servir de tribune pour des idéologies profanes qui minent notre foi.
