Le rapport médical officiel pointe un AVC suivi d’une défaillance cardiovasculaire irréversible, sur fond d’un état de santé fragilisé depuis plusieurs années.Le professeur Andrea Arcangeli, directeur de la Direction de la santé et de l’hygiène de l’État de la Cité du Vatican, a signé le rapport médical publié par la Salle de presse du Saint-Siège. Selon ce document, le pape François est décédé des suites d’un accident vasculaire cérébral (AVC), ayant conduit à un coma, puis à une défaillance cardiovasculaire irréversible.
Le rapport précise que la mort a été officiellement constatée à l’aide d’un enregistrement électrocardio-anatomique, une procédure confirmant l’arrêt total de l’activité cardiaque et cérébrale.
Outre cet épisode aigu, l’état de santé du Saint-Père était depuis plusieurs mois marqué par une insuffisance respiratoire aiguë, due à une pneumonie multi microbienne bilatérale. À cela s’ajoutaient plusieurs pathologies chroniques : bronchectasies multiples (altération permanente des bronches), hypertension artérielle et diabète de type II. Ces affections ont fragilisé progressivement son organisme, rendant plus probable une issue fatale en cas de complication neurologique ou cardiaque.
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Dans sa déclaration, le professeur Arcangeli conclut : « Je déclare que les causes de la mort, selon ma science et ma conscience, sont celles indiquées ci-dessus. »Le décès est survenu dans son appartement de la Maison Sainte-Marthe, où le pape François avait choisi de résider depuis le début de son pontificat.
