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La justice donne raison aux protecteurs de la création et empêche l’adoration du créateur…

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Nous avons tous en tête la vidéo du sprint et le placage de la “sœur courage” pour défendre le site en travaux de Saint Pierre de Colombier au cœur de l’Ardèche ; le projet de construction de ce sanctuaire s’est heurté à un mur de résistance celui de l’activisme environnemental. L’obstacle érigé par le tribunal judiciaire de Privas ce lundi, entrave la construction de ce lieu de prière.

Cela soulève une interrogation : les défenseurs autoproclamés de la Création ne sont-ils pas en train de limiter l’expression de la foi envers le Créateur ?

Le complexe religieux, conçu pour se fondre dans le paysage de Saint-Pierre-de-Colombier, promettait d’offrir un espace de rassemblement pour 3 500 fidèles , tout en créant des habitations et un parking.

Avec l’arrêt des travaux, commandé jusqu’à nouvel ordre pour protéger une plante ,la Réséda de Jacquin, la justice ordonne également aux porteurs du projet, la Famille missionnaire de Notre-Dame, de réaliser « sans délai » une évaluation des incidences sur cette espèce.

La décision du tribunal, fondée sur des préoccupations écologiques , semble ignorer l’importance de la pratique religieuse et la signification d’un lieu de culte pour une communauté.

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