La polémique autour du film Barbie revient à Noisy-le-Sec comme un boomerang, et cette fois dans un décor encore plus inquiétant : une école primaire. Il ne faut pas s’y tromper. Derrière les grands mots de « liberté culturelle » et de « lutte contre la censure », c’est bien une offensive idéologique qui se déploie.Un mois après l’annulation de la projection en plein air, le maire communiste Olivier Sarrabeyrouse a choisi de relancer l’événement, cette fois dans une salle scolaire avec une projection prévue ce mardi, sous prétexte de ne pas « céder à la censure morale ». Mais qui est victime et qui censeur ? Voilà toute l’ambiguïté. Car ce ne sont pas les parents ou les croyants sincères qui imposent une idéologie aux autres. Ce sont ceux qui, brandissant les mots creux de « liberté » et de « culture », entendent imposer à tous leur vision du monde.
Sous prétexte de lutter contre une soi-disant « censure morale », le maire communiste de Noisy-le-Sec instrumentalise le film Barbie pour en faire une arme idéologique
Le procédé est bien rodé : si vous osez critiquer l’idéologie féministe militante qui imprègne ce film, vous êtes accusés de censure, de menace, voire d’obscurantisme. Mais la vraie censure, c’est celle qui consiste à bâillonner ceux qui, au nom de leur foi et de leurs convictions profondes, refusent qu’on endoctrine leurs enfants.
La vraie violence, c’est de disqualifier toute voix discordante en la réduisant au silence sous prétexte qu’elle ne correspond pas à la pensée dominante.Et le scandale est ici d’autant plus grand que le lieu choisi n’est pas neutre : une école primaire.
C’est là que l’idéologie cherche à frapper le plus fort, en s’attaquant sans scrupule aux plus jeunes, en façonnant les esprits encore fragiles. Derrière le prétexte d’un divertissement « inoffensif » se cache une stratégie bien connue : installer dès l’enfance des représentations du monde conformes aux dogmes progressistes, pour mieux déstructurer les valeurs qui fondent notre société.Ce que nous voyons aujourd’hui à Noisy-le-Sec confirme mot pour mot ce que nous dénoncions il y a plus d’un mois. Nous écrivions alors dans un appel clair et sans ambiguïté : « NON à la barbarie de Barbie, OUI à la vie, la VRAIE ! »
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Nous mettions déjà en garde contre un long-métrage qui, derrière ses paillettes, dépeint la famille traditionnelle comme obsolète, tournant en dérision le mariage, le rôle du père et de la mère, et toute la vision chrétienne de l’ordre familial voulu par Dieu.Nous rappelions aussi l’indécence des centaines de millions de dollars engloutis par Hollywood dans cette machine idéologique. Une débauche de moyens publicitaires destinée non pas à divertir mais à intoxiquer, à formater les esprits et à propager une vision dégradante de la femme et des relations hommes-femmes.Dès le premier jour, nous avions dénoncé ce qui relevait d’une véritable manipulation mondiale, avec le soutien actif des géants du numérique, comme Google, transformant la moindre recherche en une ode rose bonbon à Barbie. Une propagande assumée, qui ne recule devant rien, allant même jusqu’à introduire un personnage transgenre dans ce qu’on ose présenter comme un film familial.
À l’époque déjà, nous avions mis en évidence un contraste flagrant : Barbie est encensé, promu, imposé jusque dans les écoles, alors que Sound of Freedom ,qui dénonce le trafic d’enfants et promeut la protection de l’innocence, a été marginalisé, boycotté et caricaturé par les médias dominants. Voilà la preuve la plus éclatante de la véritable censure : celle qui frappe les œuvres qui défendent la vie, la famille, la dignité humaine.
Le fait qu’il soit aujourd’hui projeté dans une école primaire, précédé d’un « débat » visant à culpabiliser quiconque ose s’y opposer, vient confirmer la justesse de cet avertissement
Le maire communiste de Noisy-le-Sec ne défend pas la liberté. Il impose une idéologie. Sous couvert de « culture », il se fait l’instrument d’une propagande qui ne tolère pas la contradiction. Et c’est cela, la véritable censure : vouloir contraindre les familles croyantes à se taire, et les enfants à absorber malgré eux un message idéologique destructeur.Il est temps de le dire haut et fort : ce film est une arme contre la famille, contre la foi, contre l’ordre divin. Et le fait qu’il soit utilisé pour toucher les enfants, en milieu scolaire, révèle la gravité de la manœuvre.Ce n’est pas une question de cinéma, mais une guerre culturelle.Nous avons le devoir de protéger nos enfants, de défendre la famille, et de dire non à l’endoctrinement.