Ce lundi 19 mai à Lyon, la Nuit du Bien Commun permettra à des associations d’intérêt général de collecter des fonds pour leurs œuvres. Pourtant, des groupes militants appellent à manifester contre cet événement. En cause ? La foi chrétienne et l’engagement pro-vie de son fondateur, Pierre-Édouard Stérin. Certains vont jusqu’à associer l’opposition à l’avortement au racisme. Un amalgame honteux, qui insulte l’ensemble de l’Église.
Depuis 2017, la Nuit du Bien Commun réunit des bienfaiteurs autour d’un objectif simple : soutenir des projets concrets, associatifs, caritatifs, souvent portés par des bénévoles dévoués. Des actions qui vont de la lutte contre l’exclusion à l’accompagnement des personnes handicapées, en passant par le soutien aux familles et aux plus fragiles. Une belle œuvre de solidarité, enracinée dans la tradition chrétienne de la charité.
« Des évènements qui permettront au gratin de la bourgeoisie lyonnaise d’inonder d’argent les milieux anti-IVG et racistes » ( comité lyonnais des Soulèvements de la Terre)
Mais voilà que certaines associations politisées et certains élus s’en prennent violemment à cet événement, accusant Pierre-Édouard Stérin de financer des causes dites « anti-IVG et racistes » ( source .lyonmag.com) .
Cette formule, répétée dans leurs communiqués, n’est pas seulement calomnieuse : elle est profondément malhonnête.Mettre côte à côte « anti-IVG » et « racistes » dans la même phrase, c’est un mensonge grossier et une manipulation délibérée. C’est faire croire que défendre la vie humaine ,position tenue par toute l’Église catholique, du pape Léon XIV aux évêques de France, relèverait d’une forme de haine comparable au racisme. Une telle confusion insulte des millions de croyants qui, par fidélité à leur foi, affirment que toute vie humaine est sacrée, de sa conception à sa mort naturelle.
Ce « catho bashing » systématique n’a pour but que de discréditer un engagement moral cohérent, enraciné dans l’enseignement constant de l’Église. Défendre les enfants à naître n’a rien à voir avec une quelconque forme de rejet de l’autre : bien au contraire, c’est l’expression même d’un amour universel.
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Ce qui est visé ici, ce n’est pas un homme, ni même une soirée philanthropique, mais la liberté pour les catholiques d’exercer leur foi dans l’espace public. Pour certains groupes militants, il semble inacceptable que des Français puissent choisir de soutenir des œuvres conformes à leurs convictions spirituelles et morales.
Pierre-Édouard Stérin, en chrétien convaincu, met ses moyens au service du bien commun. Et cela dérange. Il est plus facile de caricaturer que de reconnaître la réalité : des dizaines de projets concrets, utiles, généreux, portés par des hommes et des femmes de terrain, soutenus par des dons privés dans un esprit de solidarité.Pourquoi tant de haine contre celui qui donne ? Pourquoi tant de mépris pour des associations de terrain qui ne demandent rien d’autre que de servir ? Pourquoi tant de violence verbale contre une soirée où l’on célèbre la générosité et l’engagement ?
Ce que ces militants rejettent, en réalité, ce n’est pas un individu, mais une vision du monde : celle de la charité chrétienne, de l’amour du prochain, du respect de la vie. Une vision incarnée avec cohérence par Pierre-Édouard Stérin, et que beaucoup, en silence, partagent et soutiennent.
