Depuis 2000 ans

Satan à l’Église : Scandale à Saint-Aubin Epinay sur Fond d’Art Contemporain, Exposition Interrompue

Les fidèles de Saint-Aubin Epinay et le diocèse de Rouen sont sous le choc après qu’une exposition d’objets ouvertement sataniques ait été présentée dans leur église, sous couvert d’art contemporain. Le diocèse a réagi rapidement en annonçant la fermeture immédiate de l’église et le retrait des objets controversés à partir de ce mardi 2 juillet. Une messe de réparation sera également célébrée pour apaiser les esprits troublés.

Le père Adrien Kanengele, curé de la paroisse, a découvert le contenu scandaleux de l’exposition après le vernissage. “Elle met en scène la mort et des animaux fantasmagoriques dans le lieu qui, pour les Chrétiens, célèbre le Dieu vivant, Jésus Christ”, a-t-il déploré. Malgré ses précautions, le projet lui avait été mentionné de manière informelle par le sacristain, sans qu’une communication officielle ne soit faite à temps. Les élus locaux, contactés par la suite, ont reconnu la nature regrettable de cet événement.

Le maire de Saint-Aubin Epinay, Benoît Anquetin, a réagi avec célérité en retirant toute mention de l’exposition du site de la mairie et en mettant hors ligne la page concernée. Connu pour son engagement dans des projets écologiques, le maire avait également fait l’objet d’une condamnation pour injure publique en 2021.

Il est noté que l’église de Saint-Aubin Epinay sert régulièrement de lieu d’exposition pour divers événements culturels, tels que des expositions d’aquarelles, de céramiques, et même des photos commémoratives. Cependant, l’incident récent soulève des questions sur le respect du cadre légal entourant les activités non cultuelles dans les lieux de culte catholique.

En réaction à ce scandale, le diocèse de Rouen a souligné la nécessité de clarifier et de renforcer les protocoles concernant l’utilisation des églises pour des activités culturelles, tout en préservant leur caractère sacré pour les croyants. Ce nouvel épisode invite à une réflexion sur les limites de l’art contemporain et sur le respect dû aux lieux de culte.

Communiqué du diocèse

Recevez chaque jour notre newsletter !