Dans une déclaration relayée par la Maison-Blanche, le président Donald Trump a confirmé la redésignation du Nigeria comme “pays particulièrement préoccupant” en raison des atrocités commises contre les chrétiens. Cette annonce s’accompagne d’un ton inédit de fermeté, annonçant une possible intervention américaine pour mettre fin à ce que le président qualifie désormais de “menace existentielle contre le christianisme”.
Dans un message publié sur le compte officiel de la Maison-Blanche, le président Trump a déclaré :
« Le christianisme fait face à une menace existentielle au Nigeria. Des milliers de chrétiens sont tués. Des islamistes radicaux sont responsables de ce massacre de masse. Je désigne donc le Nigeria comme un pays particulièrement préoccupant. Ce n’est toutefois que la partie émergée du problème. Plus de 7 000 chrétiens, soit environ 4,7 % des victimes mondiales, ont déjà été tués cette année, et le carnage continue. J’ai demandé au congressiste Riley Moore, accompagné du président Tom Cole et de la commission des crédits de la Chambre, d’examiner immédiatement cette situation et d’en faire rapport. Les États-Unis ne peuvent pas rester passifs alors que de telles atrocités se déroulent au Nigeria et dans de nombreux autres pays. Nous sommes prêts, disposés et capables de sauver notre grande population chrétienne à travers le monde. »
Ces propos confirment la détermination du président à replacer la défense des chrétiens persécutés au cœur de la politique étrangère américaine. Le président a chargé le congressiste Riley M. Moore et le président de la commission des crédits, Tom Cole, de conduire une enquête sur les massacres perpétrés contre les chrétiens au Nigeria. Cette mission vise à rassembler des preuves des crimes commis par Boko Haram, l’État islamique en Afrique de l’Ouest et les milices peules, responsables de milliers de meurtres et de déplacements massifs. De son coté,Riley Moore, fervent défenseur de la liberté religieuse, a salué cette annonce :
« Je remercie sincèrement le président Trump pour son incroyable leadership et son action décisive. Le Nigeria est devenu l’épicentre du martyre chrétien. Depuis mon entrée au Congrès, je me bats pour défendre nos frères et sœurs en Christ. Cette désignation est une première étape essentielle pour tenir le gouvernement nigérian responsable de ses graves violations de la liberté religieuse. »
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Depuis le début de l’année 2025, plus de 7 000 chrétiens ont été tués au Nigeria, soit 35 par jour en moyenne. Des centaines d’autres ont été kidnappés, torturés ou contraints à l’exil. Selon l’organisation Open Doors, plus de chrétiens meurent chaque année au Nigeria que dans le reste du monde combiné. Depuis 2009, les estimations évoquent jusqu’à 100 000 morts et près de 19 000 églises détruites. Le Nigeria, pays de plus de 200 millions d’habitants, se trouve désormais au cœur d’un conflit religieux et idéologique qui menace la survie même des communautés chrétiennes du nord du pays.Des sources diplomatiques à Washington confirment que cette redésignation pourrait ouvrir la voie à des sanctions ciblées, voire à une mission humanitaire et sécuritaire internationale. Les États-Unis envisageraient également de conditionner leur aide militaire et économique au Nigeria au respect des droits fondamentaux et à la protection des minorités chrétiennes.
« Les États-Unis ne détourneront pas le regard pendant que des chrétiens sont massacrés. Nous sommes prêts à protéger nos frères et sœurs dans le Christ à travers le monde », a réaffirmé Riley Moore.
Cette fermeté marque le retour d’une diplomatie américaine axée sur la défense de la foi chrétienne, et rappelle la vision du président Trump : un pays déterminé à défendre la liberté religieuse comme pilier de la dignité humaine et de la paix internationale.En redonnant une priorité internationale à la défense des chrétiens persécutés, Donald Trump replace la liberté religieuse au centre du débat géopolitique mondial. Le Nigeria, désormais redevenu symbole de la souffrance des communautés chrétiennes, devient aussi le premier terrain où la nouvelle administration pourrait démontrer sa détermination à agir. Si Washington passe de la parole aux actes, cette initiative pourrait inaugurer une ère nouvelle où les États-Unis s’affirment de nouveau comme protecteurs des minorités chrétiennes, au nom d’un principe universel de justice et de foi.
