[ EXTRAITS par David Nolent]

50 témoignages de vies extraordinaires transformées par JESUS CHRIST


“En octobre 2012, je partis m’occuper de ma mère en Guadeloupe. Elle
devait être opérée d’un cancer de l’utérus. Un examen important ayant été
oublié dans la prise de sang, nous avons décidé d’annuler l’intervention en
faisant confiance à Dieu. Par la suite, ma mère a été guérie de façon
inexplicable. Quelques jours après, je commençai à me sentir mal. J’ai donc
décidé de rentrer en France.


Le début du calvaire


Début novembre, je souffrais de douleurs abdominales insupportables,
calmées uniquement par des antalgiques forts. Fin décembre est apparu un
ictère généralisé. Début janvier commença un parcours médical interminable.
Je pleurais parfois en demandant à Dieu « Pourquoi ? ». Après quelques
mois, le pancréas est redevenu normal sans aucun traitement, ce que
confirmèrent tous les examens.
Un an plus tard, je dus être hospitalisée en urgence en soins intensifs
pour une thrombopénie : j’étais couverte d’hématomes spontanés et
ecchymoses multiples. Je souffrais d’un épuisement général, de maux de tête,
vertiges et hypertension. Trois jours plus tard, je sortis sous traitement avec
un taux de plaquettes normalisé. Je fus en rémission complète en mai 2014,
donc autorisée à partir en vacances en Guadeloupe pour 2 semaines.


Non pas encore


Trois jours après mon arrivée, les symptômes réapparurent. Un bilan
confirma une thrombopénie. Je fus à nouveau hospitalisée en urgence. Selon
les médecins, ils ne pouvaient plus rien pour moi. Les plaquettes ne
cessaient de descendre, le médecin craignait une hémorragie méningée. Je
me voyais déjà mourir loin de mes enfants. Je fus transférée au CHU de
Pointe à Pitre. Je commençais à paniquer, à pleurer en criant :

« Seigneur m’as-tu abandonné ? »

Aucun traitement n’empêchait les plaquettes de chuter. Aucune amélioration ne permettait d’envisager mon retour en avion.Je risquais d’en mourir.


Environnée par la mort


Un soir, je m’adressai à Dieu : « Seigneur, je n’en peux plus, dis-moi ce
que tu veux. Si j’écoute les hommes, la fin est proche. Mais toi, qu’en dis-tu
? Si je dois mourir, je sais que je serais avec toi. Mais, dis-le-moi ! » Dieu
me répondit : « Tu es environnée d’ennemis. Mais, quand j’ai mis un pied
vers toi ils se sont enfuis. Par contre, d’autres ennemis sont en toi. » Je ne
comprenais pas. Mais, il me montra que mes ennemis, c’était ma crainte, ma
peur, mes doutes, mes murmures. Il me demanda de l’inviter à prendre toute
la place dans mon coeur, mes pensées. Je lui obéis. Il me dit : « Tu ne
mourras pas, tu prendras l’avion pour aller vers ceux qui t’aiment et pas une
parcelle de ton être ne restera en arrière. »


La guérison à l’horizon


Je sentis alors la paix de Dieu m’envahir même si je ne voyais rien
changer. J’avais choisi de faire confiance à Dieu. Deux jours après, le taux
des plaquettes était à la hausse et je pus très vite sortir et rester deux
semaines de plus avec ma maman pour la rassurer. Avant de reprendre
l’avion, Dieu me dit dans un rêve que tout reprendrait sa place dans mon
corps. C’est exactement ce qui s’est passé !
Dieu n’abandonne jamais ses enfants. Il nous protège, nous console et
nous rassure.

Sylviane”

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