La vente de la résidence de l’évêque de Gap pour 1,6 million d’euros a été une solution pour assainir les finances du diocèse et remédier à la situation difficile causée par la gestion dispendieuse de Mgr Di Falco. Les frais de fonctionnement de l’évêché de Gap s’élevaient à 30 000 euros par an, et cela a contribué à la situation financière fragile du diocèse.

En 2019, le diocèse avait un déficit de 208 135 euros et une dette de 7,8 millions d’euros. Bien qu’en 2020, l’excédent s’élevait à 225 000 euros, la dette avait augmenté à 8 millions d’euros, avec près de 3,9 millions d’autres dettes. Malgré la cession d’un immeuble pour 284 000 euros et la réception de legs en Colombie, la situation financière du diocèse est restée fragile.

En 2021, le diocèse a enregistré un déficit de 237 021 euros, avec une dette de 9,6 millions d’euros, dont 2,1 millions d’euros auprès d’établissements de crédit. Toutefois, les legs ont commencé à repartir à la hausse, avec 1,6 million d’euros reçus en 2021 contre 372 273 euros en 2020. Malgré cela, le diocèse continue de faire face à des difficultés financières, et la dette détenue dans la SCI de Gap et d’Embrun a augmenté pour atteindre 4 075 115 euros.

Les erreurs de gestion et les dépenses excessives de Monseigneur Di Falco ont contribué à cette situation difficile. Malgré les efforts du diocèse pour réduire la dette et recevoir des legs, la situation reste fragile. La vente de la résidence de l’évêque de Gap a été une solution nécessaire pour assainir les finances du diocèse, mais le diocèse doit continuer à prendre des mesures pour remédier à sa situation financière difficile.