Sous les applaudissements nourris de la Knesset, le président des États-Unis Donald Trump a prononcé ce lundi 13 octobre à Jérusalem un discours d’une rare intensité spirituelle. Ce moment, marqué par la libération des derniers otages israéliens et la fin annoncée du conflit avec le Hamas, consacre l’alliance de la diplomatie et de la foi, et rappelle que la paix véritable ne peut naître que sous le regard du Très-Haut.
Accueilli par une fanfare et une ovation debout, Donald Trump a ouvert son allocution en déclarant : « Nous sommes dans un lieu béni. Nous rendons grâce au Dieu d’Abraham. » Quelques instants plus tard, il a ajouté avec émotion : « Les otages sont de retour ! Quel bonheur de pouvoir enfin le dire. » Puis il a poursuivi : « La cruauté du 7 octobre a frappé le cœur de l’humanité. L’Amérique a pleuré avec Israël. Et grâce à nous, ce long et douloureux cauchemar est enfin terminé. »
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Devant les députés israéliens, Donald Trump a ensuite proclamé : « Après tant d’années de guerre incessante et de danger permanent, aujourd’hui les cieux sont calmes, les armes se taisent, les sirènes ne hurlent plus, et le soleil se lève sur une Terre Sainte enfin en paix. Ce n’est pas seulement la fin d’une guerre. C’est la fin d’une ère de terreur et de mort, et le commencement d’un âge de foi, d’espérance et de Dieu. C’est l’aube historique d’un nouveau Moyen-Orient. »
Dans un ton mêlant gravité et fraternité, il a salué le Premier ministre israélien : « Netanyahu n’est pas facile à diriger, mais c’est ce qui fait sa grandeur. »Ce discours, applaudi à plusieurs reprises, restera sans doute comme l’un des plus marquants de la carrière de Donald Trump. En invoquant publiquement le Dieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob devant la Knesset, il a rappelé à un monde désenchanté que la paix véritable ne peut se bâtir sans Celui qui en est l’auteur.
