Le conclave, qui a débuté le 7 mai, a pris fin aujourd’hui 8 mai à 18H08, après à peine plus de 24 heures de délibérations, avec l’apparition de la fumée blanche au-dessus de la Chapelle Sixtine. Ce court conclave, marqué par une décision rapide, est une surprise pour beaucoup, étant donné le contexte complexe et les enjeux immenses auxquels l’Église catholique fait face.
À 16h30 hier, les cardinaux se sont enfermés dans la Chapelle Sixtine, suivant le rituel de l’Extra Omnes, marquant le début officiel du conclave. Un silence lourd de prière et de réflexion a régné dans la ville de Rome et dans le monde entier. Puis, en à peine 24 heures, la fumée blanche a fait son apparition, signalant l’élection d’un successeur de Saint-Pierre.
La rapidité de cette élection semble refléter une volonté d’unité parmi les cardinaux, qui, après une courte période de réflexion, ont rapidement trouvé un consensus. Dans les coulisses du conclave, certains observateurs affirment que cette rapide élection pourrait indiquer un choix clair, peut-être dû à une urgence d’agir face aux défis actuels de l’Église.Les raisons de cette rapide décision ne sont pas encore entièrement claires. Peut-être que la situation actuelle exigeait un pontife capable de restaurer rapidement l’autorité de l’Église, ou les cardinaux ont peut-être perçu une forte inspiration spirituelle guidant leurs choix. Ce conclave express s’inscrit dans un contexte où l’Église fait face à une série de défis, tant internes qu’externes, et cette élection pourrait répondre à une volonté d’action immédiate.
Le monde attend désormais l’apparition du nouveau Pape à la fenêtre du Palais apostolique. Bien que son nom soit encore inconnu, l’événement marque un tournant rapide dans l’histoire de l’Église.