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IVG dans la constitution, c’est en marche…

shallow focus photography of baby beside woman
Photo by Oleg Sergeichik
Il est à craindre que cette initiative puisse aller de l'avant, malgré les objections de ceux qui défendent les principes sacrés de la vie dès sa conception.


La commission des lois de l’Assemblée nationale a franchi une première étape en approuvant l’inscription de la prétendue « liberté » pour les femmes de recourir à une interruption volontaire de grossesse (IVG) dans notre Constitution. Cette décision, prise le 17 janvier, suscite de profondes inquiétudes parmi les catholiques, ainsi que parmi de nombreux autres citoyens attachés aux valeurs traditionnelles et à la protection de la vie.

Ce projet de réforme constitutionnelle, présenté en Conseil des ministres le 12 décembre dernier, soulève des préoccupations légitimes quant à sa formulation et à ses implications. Les parlementaires des partis LR et RN, conscients des enjeux moraux et éthiques, expriment leur opposition sur cette mesure.

La prochaine étape consiste en l’examen du projet dans l’hémicycle de l’Assemblée nationale le 24 janvier, suivi par son transfert au Sénat, où la droite et le centre sont majoritaires. Il est à craindre que cette initiative puisse aller de l’avant, malgré les objections de ceux qui défendent les principes sacrés de la vie dès sa conception.

Si le Sénat devait adopter ce projet dans les mêmes termes, un Congrès à Versailles serait convoqué le 5 mars. Cette perspective alarmante nécessiterait les votes favorables des 3/5e des parlementaires pour une adoption définitive. Les partisans de la vie et de la dignité humaine continueront de s’opposer fermement à cette atteinte aux valeurs fondamentales de notre société.

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