Cependant, cette initiative nécessite l'accord unanime des 27 États membres, ce qui semble peu probable étant donné que plusieurs États, notamment Malte et la Pologne, restreignent fortement le recours à l'IVG.
"C'est la première fois dans une démocratie libérale occidentale que l'interruption volontaire de grossesse est non seulement dépénalisée et autorisée"
La réunion du Congrès ce lundi 4 mars à Versailles ne changera rien
à la position de l'Eglise qui depuis des années à toujours fermement condamné l'IVG.
Il est à craindre que cette initiative puisse aller de l'avant, malgré les objections de ceux qui défendent les principes sacrés de la vie dès sa conception.
Le 12 décembre, le projet de loi inscrivant l'IVG dans la Constitution a été présenté en Conseil des ministres. Au cœur de ce projet, l'accent est mis sur la "liberté garantie" des femmes de recourir à l'avortement, plutôt que sur le traditionnel "droit à l'IVG."
Emmanuel Macron a confirmé ce dimanche 29 octobre qu’il déposera un projet de loi constitutionnelle pour « graver dans notre Constitution la liberté des femmes à recourir » à l’Interruption volontaire de grossesse (IVG)