La communauté chrétienne de Jérusalem fait face à la montée du harcèlement et du vandalisme perpétré par des jeunes Juifs extrémistes. Les incidents récents ont exacerbé les craintes des membres de la petite communauté chrétienne qui ressentent un sentiment croissant de discrimination et de marginalisation.
Les actes de vandalisme comprennent des dégradations de statues de Jésus dans l’église de la Flagellation ( 3 février dernier) et des graffitis offensants sur les murs du couvent arménien de Saint-Jacques. Le harcèlement violent inclut des jets de chaises et de tables dans le quartier chrétien, qui ont créé un « champ de bataille » et le vandalisme d’un cimetière chrétien à Jérusalem.
Le climat politique actuel est souvent attribué à la dégradation de la situation, car les tensions continuent de s’exacerber dans la région. Les autorités israéliennes ont pris des mesures pour préserver la coexistence entre les différentes religions en intensifiant les patrouilles de police autour des sites chrétiens.
Cependant, la communauté chrétienne de Jérusalem continue de craindre pour son avenir et son bien-être, ainsi que pour la sauvegarde de son patrimoine culturel et religieux.
La ville de Jérusalem est un lieu de grande importance pour les religions chrétienne, juive et musulmane, et il est crucial de préserver la coexistence pacifique entre ces communautés religieuses. Les autorités doivent agir rapidement pour mettre un terme aux actes de violence et de harcèlement, afin de garantir que la liberté de culte à Jérusalem est maintenue et que la Ville Sainte reste un symbole de coexistence pacifique entre les différentes religions.