Le chef du Hezbollah a répondu lundi 8 avril aux Forces libanaises, qui ont qualifié de «meurtre politique» l’assassinat de Pascal Sleiman, un cadre de ce puissant parti chrétien d’opposition au Hezbollah.
Hassan Nasrallah a nié tout lien avec l’assassinat et a affirmé que le parti chrétien était un «facteur de division».
Source Le Figaro