Nous entendons et comprenons tous les paroles de fraternité du Saint Père face au drame des migrants. Il y a cependant une autre catastrophe devant laquelle nous ne pouvons pas rester silencieux et qui mérite tout autant la mobilisation des instances religieuses.
Un génocide se déroule au haut-karabagh non pas en raison de guerres intestines, de luttes contre les djihadistes, ou de combats contre les mafias locales mais simplement à cause d’une identité chrétienne qui est persécutée.
Où sont les chantres de l’indignation , où sont les humanistes de l’instant , où sont les élans fraternels ?
Nos frères chrétiens arméniens payent de leur sang leur identité chrétienne et aucune théologie du dialogue ne semble pouvoir résoudre cette situation insoutenable .
le pape François a appelé les fidèles à «tressaillir» face au sort des plus faibles, il est grand temps de tressaillir pour ce peuple du Haut Karabagh.
Monseigneur Pascal Gollnish directeur de L’Œuvre d’Orient, lance un nouveau cri d’alarme, comme un cri dans le désert…
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