Ce 31 octobre 2025, Montpellier s’apprête à vivre un scandale spirituel d’une rare gravité. Dans l’ancienne église du XVIIe siècle connue sous le nom de Maison des Chœurs, se tiendra une soirée intitulée « Ex Tenebris Lux – Dark Halloween », organisée avec l’autorisation explicite de la mairie de Michaël Delafosse.Ce qui est présenté comme un événement culturel est en réalité une profanation planifiée dans un lieu saint, un affront à la foi et une blessure profonde faite à toute la communauté catholique.
Vidéo de présentation « Ex Tenebris Lux – Dark Halloween »
🚨🚨ALERTE PROFANATION de l'église Maison des Chœurs à Montpellier : la vidéo de l’inacceptable
— Tribune Chrétienne (@tribuchretienne) October 30, 2025
🔴⚡️Les images de l’édition 2024, déjà diffusées en ligne, révèlent l’ampleur du scandale : Rien ne saurait justifier une telle profanation
Extrait de l'édition 2024… pic.twitter.com/zkEPhLZxhf
Les images de l’édition 2024, déjà diffusées en ligne, révèlent l’ampleur du scandale. On y voit notamment une femme déguisée en religieuse, vêtue d’un habit détourné, blasphémer le signe de croix devant un homme agenouillé tenant une hostie sur la langue . Cette mise en scène, d’une obscénité insoutenable pour tout fidèle catholique , parodie la communion et tourne en dérision le mystère le plus sacré de la foi chrétienne : l’Eucharistie.
Autour de cette scène ignoble, d’autres performances montrent des figures de prêtres, de sœurs, des gestes liturgiques travestis, des lumières rouges et des symboles ésotériques. Et tout cela dans une église, sous la croix du Christ, dans les confessionnaux et au-dessus des sépultures de deux évêques et d’un chanoine.
Rien ne saurait justifier une telle profanation.Ce spectacle ne relève pas de la liberté artistique : il relève du blasphème public et de la violation du respect dû au sacré. Là où les fidèles ont prié pendant des siècles, où le silence de Dieu se faisait entendre, on met aujourd’hui en scène la parodie du sacrement.
Face à cette horreur, Monseigneur Norbert Turini, archevêque de Montpellier, a déjà pris la parole avec courage dans une déclaration du 27 octobre :
« Le titre de cette soirée, Dark Witness en Église, au contenu ambigu, dans un tel lieu, peut légitimement choquer et, à mes yeux, n’y a pas sa place. »Et l’archevêque d’ajouter : « La liberté artistique, si légitime soit-elle, n’autorise pas le mépris du sacré. »
Il rappelle que la Maison des Chœurs, bien que désaffectée, demeure un lieu porteur d’une mémoire spirituelle, historique et humaine. Elle abrite encore les sépultures de deux évêques de Montpellier, dont Charles de Pradel, fondateur de l’hôpital Saint-Charles. Ces pierres sont marquées par la prière et la présence du Christ, et non par le vacarme de la dérision.Malgré cela, la mairie de Montpellier, propriétaire du lieu, a maintenu son autorisation et donne pour seule réponse que les organisateurs ont payé 1600 HT pour louer les lieux , faudrait-il donner 1600 HT pour que cette soirée soit annulée ? A cette heure nous n’avons pas encore la réponse. Contactée à plusieurs reprises, elle semble « s’agacer de tout ce bruit pourquelque chose qui n’en vaut pas la peine » selon les propres mots de la mairie de Montpellier .Ce silence et cette indifférence sont inacceptables. À la veille de la Toussaint, alors que les fidèles s’apprêtent à honorer leurs morts et à prier pour leurs défunts, la mairie choisit de livrer une église aux ténèbres.
Selon nos informations, une procédure est actuellement envisagée sur le fond, notamment au titre du respect des sépultures et du caractère sacré du lieu. Des juristes examinent la possibilité de saisir la justice pour atteinte à la dignité des morts et profanation de symbole religieux. Il ne s’agit pas ici d’un débat esthétique, mais d’un combat spirituel.
On ne joue pas avec le sacré, on ne met pas en scène le corps du Christ comme un accessoire de spectacle. Une société qui autorise cela oublie ce qu’elle est, oublie ses racines, oublie Dieu.
Alors, une question s’impose : Comment le maire de Montpellier, Michaël Delafosse, peut-il cautionner un tel acte ?
Comment peut-il se taire face à un blasphème si manifeste, face à une telle offense au cœur de la foi chrétienne ?Ce silence n’est pas neutre : c’est une approbation tacite, une complicité morale.Car lorsque l’on se moque de la croix, lorsque l’on tourne en dérision l’hostie, ce n’est pas seulement Dieu qu’on offense, c’est la dignité humaine qu’on abîme.
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