L’histoire ignorée de la tentative d’assassinat des francs-maçons sur Don Bosco est un récit captivant qui reflète la haine profonde que ces derniers portaient au fondateur de la Famille salésienne, Saint Jean Bosco. Ce récit a été recueilli dans un article intitulé « Objectif : éliminer notre Don Bosco », publié en 1980 dans le Bollettino Salesiano, la publication officielle de la Famille Salésienne. Cet article a été publié peu de temps avant le centenaire de ces tentatives de meurtre contre les religieux.
Le récit raconte deux tentatives d’assassinat, ordonnées par la franc-maçonnerie, sur Don Bosco. La première tentative a été révélée par un ancien élève de Don Bosco nommé Alessandro Dasso, qui s’est présenté à la guérite de la maison de Don Bosco en juin 1880, en demandant à parler au prêtre. Les yeux effrayants de Dasso ont éveillé les soupçons de Don Bosco, qui l’a accueilli avec sa gentillesse habituelle mais qui a commencé à s’inquiéter en voyant l’agitation croissante du jeune homme. En fin de compte, Dasso est tombé à genoux en pleurant et a révélé la vérité : il était lié à la franc-maçonnerie et Don Bosco avait été condamné à mort, avec douze hommes choisis pour exécuter la sentence. Dasso a déclaré qu’il était son tour de l’exécuter, mais qu’il ne pourrait jamais le faire et plutôt qu’il se chargerait de la vengeance des autres. Après avoir révélé son intention, il a jeté son arme et s’est éloigné rapidement, bien que Don Bosco ait essayé de le réconforter.
Quelques mois plus tard, un autre jeune homme est venu rendre visite à Don Bosco, exhibant un regard « sinistre » qui n’inspirait pas confiance. Ce garçon s’exprimait de manière exaltée et un petit revolver est tombé de sa poche pendant qu’il parlait. Don Bosco, restant calme, a habilement caché l’arme dans sa poche sans que le jeune homme s’en rende compte. Lorsque le jeune homme a commencé à chercher son arme dans sa poche, Don Bosco lui a demandé calmement ce qu’il cherchait. Le garçon, confus, a répondu qu’il avait quelque chose dans sa poche, mais qu’il ne savait pas comment il avait disparu.