Le 23 septembre 2025, à l’Assemblée générale des Nations unies, Donald J. Trump a dénoncé le “globalisme destructeur” et plaidé pour la souveraineté des nations. Mais c’est surtout son appel en faveur de la liberté religieuse et des chrétiens persécutés qui a marqué les esprit.Devant les délégations du monde entier, l’ancien président américain Donald J. Trump a livré un discours en faveur des nations souveraines, contre l’ingérence du globalisme et face aux menaces de la guerre, du terrorisme et de la perte d’identité culturelle.
« Protégeons la liberté religieuse, et spécialement la religion la plus persécutée dans le monde : le christianisme. »
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— Tribune Chrétienne (@tribuchretienne) September 24, 2025
🔴Le président Trump appelle au respect des chrétiens à travers le monde#Trump #ONU pic.twitter.com/Cf3BARgw3C
Par ces mots, l’ancien président a mis en lumière une réalité souvent rappelée par les ONG et observateurs indépendants : le christianisme demeure aujourd’hui la religion la plus persécutée au niveau mondial. Donald Trump a précisé que le respect de la liberté religieuse ne peut se réduire à un principe abstrait, il doit inclure la défense active des croyants qui, dans de nombreux pays, vivent sous la menace de discriminations, de violences et parfois de mort.
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Rappelons qu’aujourd’hui, dans le monde, la situation des chrétiens persécutés reste alarmante. Selon le rapport World Watch List 2025 publié par l’organisation Open Doors International, plus de 380 millions de chrétiens subissent un haut niveau de persécution. Cela représente 1 chrétien sur 7 dans le monde, avec des chiffres encore plus dramatiques en Afrique (1 sur 5) et en Asie (2 sur 5). En une seule année, 4 476 chrétiens ont été tués, plus de 7 600 églises attaquées et près de 4 800 croyants emprisonnés en raison de leur foi. Les pays les plus dangereux incluent la Corée du Nord, la Somalie, le Yémen, le Nigeria ou encore le Pakistan. Même en Amérique latine, autrefois bastion chrétien, des pays comme Cuba, le Nicaragua, le Mexique et la Colombie figurent désormais parmi les lieux de forte hostilité envers les communautés chrétiennes. Ce constat montre que l’avertissement lancé à l’ONU par Donald Trump n’est pas isolé, mais s’appuie sur une réalité mondiale préoccupante.
Que l’on soit partisan ou non de Donald Trump, ce rappel des persécutions et cet appel au respect des chrétiens à travers le monde méritent d’être relevés et, à bien des égards, salués.