Chaque jour le développement de l’idéologie du genre est davantage imposé aux esprits à grand renfort médiatique et les cas d’accouchements par des femmes se sentant hommes augmentent….Le personnel des services de maternité est désormais “formé” pour suivre et adopter cette nouvelle idéologie.

À l’hôpital André-Grégoire de Montreuil, en Île-de-France, comme l’a rapporté Livre noir le 16 Janvier dernier…, “un homme transgenre”, c’est-à-dire, pour les non-initiés, une femme se sentant homme, “va bientôt accoucher”.

Malgré l’enthousiasme artificiellement créé pour ces nouveaux types d’accouchements, cet heureux événement posait quelques problèmes organisationnels. Car il s’agissait d’un première fois pour le personnel de cet hôpital, dont les médecins et les sages-femmes n’ont jamais “eu affaire à la gestion de la trans-identité”.

A Paris, en revanche, ces situations sont devenues courantes, du moins depuis que, en 2019, a eu lieu “l’accouchement du premier homme transgenre de France”, à la maternité de Lilas, dans le 20e arrondissement. Et depuis lors, pour éviter tout signe de transphobie, la décision a été prise, fortement soutenue par les groupes LGBT, “de former le personnel des services de maternité à la trans-identité”.

Ainsi, dans les hôpitaux parisiens, on a commencé il y a quelques années à donner des cours de formation spécifique, comme l’explique au Parisien Madame Corina Pallais “psychologue “.

Selon la syndicaliste, il s’agit surtout d'”un travail de reconstruction de nos représentations”.

D’ailleurs, Madame Pallais précise que ce changement de représentations est un combat : “Et comme tous les combats que nous avons menés, sur le droit à l’avortement par exemple, celui-ci nous a également unis.” Unis à quoi ?

À Montreuil, donc, entre en jeu l’association Outrans, qui porte bien son nom… Outrans, fondée en 2009, se présente sur son site comme une “association féministe d’auto-support trans” dédiée aux personnes “trans-masculines, trans-féminines, non binaires, en recherche, et pour leurs alliés cisgenres”.

Qui sont alors 99% des citoyens en retard?

L’association a même obtenu un “partenariat avec le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation” pour créer des “modèles de formation destinés au personnel médical”. Et ainsi, ces formations incontournables ont également commencé à Montreuil, grâce à l’engagement de la co-directrice d’Outrans, Anaïs Perrin-Prévelle.

Qui, en attendant l’accouchement trans, a recommandé aux participants à son cours de s’excuser, s’ils utilisent jamais les désuets “monsieur et madame”. D’ailleurs, elle a ajouté qu'”pour mieux accompagner les personnes transgenres”, il serait opportun de “désexualiser les documents d’identité”.

Selon Madame Perrin-Prévelle, alors qu’au cours des premières années Outrans était appelée à donner au maximum une vingtaine de cours par an, “nous en avons fait 65 en 2022 et une centaine en 2023”.

Des cours où des idéologues s expliquent à des médecins ce qu’est la science, comment traiter les patients et même comment les appeler pour ne pas les offenser et ne pas les discriminer. Renversant la Vérité, et réduisant les pères et mères à de simples “représentations à reconstruire”…