Une parodie blasphématoire s’est déroulée sur la passerelle Debilly à Paris le jeudi 31 octobre dernier. Orchestrée par le collectif LGBT Les Inverti·e·s, ce rassemblement se voulait être une réponse aux prières de réparation de fidèles catholiques venus suite au blasphème de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques. Dans l’outrance et l’offense le lobby LGBT est venu s’assurer que son idéologie aurait bien le dernier mot.
Sous couvert d’humour et de happy happening gay , cette cérémonie de « réhomosexualisation » n’est rien d’autre qu’un acte de provocation destiné à blesser et à déshonorer la foi chrétienne. Comment peut-on accepter une telle manifestation qui, loin de respecter la liberté d’expression, ne fait que promouvoir une idéologie qui cherche à imposer ses codes et à mépriser notre foi ?
La malhonnêteté intellectuelle est de mise, elle est l’ADN de ces intégristes gay ; le but est de faire valoir une constante victimisation, où la revendication de la liberté devient un prétexte pour justifier des comportements insultants et blasphématoires.
Il est évident que les homosexuels d’aujourd’hui ne sont plus stigmatisés de la même manière qu’ils l’ont pu l’être pendant un temps mais au nom de l’inclusion ils n’en sont plus à seulement revendiquer un droit de vivre à leur manière. Leurs revendications sont devenues une idéologie qui souhaite simplement imposer cette identité comme la norme de notre société. Le problème est donc retourné,c’est à l’hétérosexuel catholique de se battre et de lutter pour vivre selon les valeurs chrétiennes.
Les catholiques sont mis à l’écart, jugés et discriminés au nom des idéologies LGBT et wokistes. Cette inversion des rôles a transformé les anciennes victimes de discrimination en oppresseurs idéologiques, tout le caractère pernicieux de la démarche est là.
Comment peut-on parler d’inclusion lorsque ceux qui prétendent être des victimes se permettent de détruire les valeurs qui fondent notre société ? La religion catholique, en particulier, est perçue comme une cible facile, car on se dit qu’avec les chrétiens, « on ne risque rien ». Ce mépris va jusqu’à déconsidérer notre droit à la prière , transformant des fidèles pratiquant en intégristes, n’est-ce pas là un véritable acte d’exclusion ?
La prière est l’expression de notre liberté et elle doit etre respectée !La norme LGBT que l’on tente de nous imposer est le véritable intégrisme. Elle impose tout, ne respecte rien et détruit tout sur son passage. Nous dénonçons ces manifestations blasphématoires et appelons à une insurrection spirituelle.
Il est temps de lutter contre ces atteintes à la religion chrétienne par le témoignage quotidien de notre foi.
La manifestation offensante de la passerelle Debilly n’est que l’expression d’une pensée destructrice qui ne vise qu’à profaner le Sacré. En tant que catholiques, nous ne pouvons rester silencieux face à ces attaques. Il est temps de se lever et de faire entendre notre voix, non par la violence, mais par la force de notre foi et de notre témoignage.
Rappelons-nous que notre foi est plus forte que toutes les attaques et que combattre ces sacrilèges est aussi un acte d’amour pour Le Seigneur. Ne restons pas des chrétiens de façade qui se donnent « bonne conscience » par une résignation de circonstance.