Ces derniers jours, l’hôpital pour enfants du Colorado a annoncé une décision : mettre fin à ces chirurgies pour les patients âgés de 18 ans et plus. Cette décision a été motivée par un nombre d’appels « sans précédent » et la nécessité de se concentrer sur les patients pédiatriques.
Ces chirurgies, connues sous le nom de « reconstruction thoracique », consistent à retirer les tissus mammaires pour créer une apparence plus masculine chez les femmes s’identifiant comme des hommes. Cependant, l’hôpital a souligné qu’il n’avait pas pratiqué de telles chirurgies sur des patients de moins de 18 ans.
Malgré l’arrêt de ces opérations chez les adultes, l’hôpital continue de proposer des bloqueurs de puberté, des hormones et d’autres services pour affirmer l’identité de genre auto-identifiée de certains patients.
- Mais derrière cette décision se cache un véritable drame : la demande croissante d’opérations de chirurgie liées au genre. L’hôpital a reçu un nombre sans précédent de références pour ces soins, poussant son équipe à prendre cette décision.
L’utilisation de bloqueurs de puberté et de traitements hormonaux pour les mineurs suscite également des controverses. Ces traitements sont souvent présentés comme une option sûre et réversible, mais leur impact sur le développement physique et mental des jeunes patients suscite des inquiétudes légitimes. Ces interventions perturbent le développement hormonal, affectant ainsi des aspects tels que la pensée critique et les compétences sociales.
Les catholiques rejettent catégoriquement « cette redistribution artificielle » de la nature humaine telle que Dieu l’a voulu : le retrait d’organes sains est clairement une forme de mutilation.
Ce drame révèle les défis éthiques et moraux auxquels sont confrontés les professionnels de la santé, ainsi que les débats de société qui entourent la question de l’identité de genre et des traitements associés.