Le Forum des leaders tribaux autochtones, regroupant des tribus reconnues basées dans le district de Churachandpur, a publié une liste accablante de 12 attaques supplémentaires survenues entre le 3 mai et le 6 juillet. Mais ces chiffres pourraient être bien plus élevés, ne représentant qu’une fraction des crimes abominables commis contre les femmes de la communauté Kuki-Zo.
Parmi ces atrocités, une vidéo virale a stupéfié le monde entier en montrant des femmes Kuki-Zo nues, agressées sexuellement et violées en public. Mais ce n’est pas tout : des villages entiers ont été brûlés, plus de 4 550 maisons ont été réduites en cendres, et pas moins de 357 églises et bâtiments religieux ont été détruits ou incendiés depuis le début des violences.
Le conflit trouve son origine dans une décision du tribunal supérieur du Manipur en avril, demandant au gouvernement de l’État de considérer l’inclusion de la communauté Meitei dans la liste des tribus répertoriées. Cette mesure potentiellement dangereuse a suscité des craintes parmi les groupes tribaux, qui redoutent une appropriation des terres tribales par les Meiteis.
Face à l’escalade des violences et à la crise humanitaire qui s’aggrave, le gouvernement indien dirigé par le Premier ministre Narendra Modi fait l’objet d’une pression accrue, tant sur la scène internationale que nationale. Le Parlement européen a adopté une résolution appelant le gouvernement indien à agir rapidement pour rétablir la paix dans le Manipur, où plus de 50 000 personnes ont été déplacées.
En réponse à cette ingérence étrangère, le gouvernement indien a qualifié la situation au Manipur d' »affaire interne » et a souligné qu’il prend des mesures pour maintenir la paix et l’ordre dans la région.
Cette vague de violences atroces soulève des préoccupations profondes concernant la sécurité des femmes et des communautés tribales dans le Manipur. L’urgence de la situation appelle à une action concertée et immédiate pour mettre fin à ces crimes odieux et restaurer la paix dans la région déchirée par le conflit. La communauté internationale doit s’unir pour condamner ces actes barbares et soutenir les efforts visant à protéger les droits humains fondamentaux dans cette région troublée de l’Inde.
Dans l’État du Manipur, au nord-est de l’Inde, des femmes chrétiennes de la communauté tribale Kuki-Zo sont confrontées à des violences inimaginables perpétrées par des membres de la communauté Meitei, majoritairement hindoue.
Un récent rapport choquant révèle que ces attaques horribles ne sont que la partie visible de l’iceberg, laissant entrevoir une crise humanitaire aux proportions dévastatrices.
Le Forum des leaders tribaux autochtones, regroupant des tribus reconnues basées dans le district de Churachandpur, a publié une liste accablante de 12 attaques supplémentaires survenues entre le 3 mai et le 6 juillet. Mais ces chiffres pourraient être bien plus élevés, ne représentant qu’une fraction des crimes abominables commis contre les femmes de la communauté Kuki-Zo.
Parmi ces atrocités, une vidéo virale a stupéfié le monde entier en montrant des femmes Kuki-Zo nues, agressées sexuellement et violées en public. Mais ce n’est pas tout : des villages entiers ont été brûlés, plus de 4 550 maisons ont été réduites en cendres, et pas moins de 357 églises et bâtiments religieux ont été détruits ou incendiés depuis le début des violences.
Le conflit trouve son origine dans une décision du tribunal supérieur du Manipur en avril, demandant au gouvernement de l’État de considérer l’inclusion de la communauté Meitei dans la liste des tribus répertoriées. Cette mesure potentiellement dangereuse a suscité des craintes parmi les groupes tribaux, qui redoutent une appropriation des terres tribales par les Meiteis.
Face à l’escalade des violences et à la crise humanitaire qui s’aggrave, le gouvernement indien dirigé par le Premier ministre Narendra Modi fait l’objet d’une pression accrue, tant sur la scène internationale que nationale. Le Parlement européen a adopté une résolution appelant le gouvernement indien à agir rapidement pour rétablir la paix dans le Manipur, où plus de 50 000 personnes ont été déplacées.
En réponse à cette ingérence étrangère, le gouvernement indien a qualifié la situation au Manipur d' »affaire interne » et a souligné qu’il prend des mesures pour maintenir la paix et l’ordre dans la région.
Cette vague de violences atroces soulève des préoccupations profondes concernant la sécurité des femmes et des communautés tribales dans le Manipur. L’urgence de la situation appelle à une action concertée et immédiate pour mettre fin à ces crimes odieux et restaurer la paix dans la région déchirée par le conflit. La communauté internationale doit s’unir pour condamner ces actes barbares et soutenir les efforts visant à protéger les droits humains fondamentaux dans cette région troublée de l’Inde.