Dans une tentative « désespérée » et moralement douteuse de promouvoir leur cause, le mouvement des jeunes de l’ADMD a récemment lancé une campagne publicitaire douteuse, morbide et sordide… En exploitant la mort tragique de célébrités telles que Lady Di, Jeanne d’Arc, Claude François et Daniel Balavoine, l’association pro-euthanasie a franchi une ligne éthique alarmante.
Les affiches, présentant des scènes macabres de mort par accident, étaient censées servir de levier pour plaider en faveur de l’euthanasie. Des images choquantes telles qu’une voiture accidentée rappelant la tragédie de Lady Di ou un bûcher évoquant l’exécution de Jeanne d’Arc ont été utilisées sans discernement pour tenter de susciter l’émotion du public.
Pourtant, cette tactique a rapidement été condamnée par des experts juridiques et des fidèles respectueux de la vie. Erwan Lemorhedec, avocat , souligne avec raison que ces accidents tragiques ne peuvent en aucun cas être comparés à une législation sur la fin de vie. Il met en lumière le manque de respect envers la vie privée des défunts et des familles, rappelant qu’il existe des limites même lorsqu’il s’agit de personnalités publiques.
Face à une vague de réactions et une profonde indignation, sur les réseaux sociaux, l’ADMD a rapidement retiré ses affiches et présenté des excuses. Pourtant, le mal est fait. Cette tentative sensationnaliste et insensible de manipuler les émotions du public en utilisant des tragédies personnelles pour avancer une cause soulève des questions profondes sur l’éthique et le respect de la dignité humaine.
