Ce miracle eucharistique a été observé le dimanche des Rameaux, le 24 mars 2024, dans la paroisse Notre-Dame du Mont Carmel, dans le village de Chekiye, Chumukedima, dans l’État indien du Nagaland. Le curé responsable de cette paroisse est le P. Johnson Vadakkapurathan et l’évêque de ce diocèse est le Dr James Thopill, l’évêque de Kohima.
Le P. Johnson fut le premier à être témoin du miracle. Environ deux mois avant que le miracle ne soit observé, une catholique et son amie baptiste se sont rendues à l’église du Mont Carmel pour la messe dominicale.
Pendant la distribution de la sainte communion, la femme baptiste a reçu la Sainte Eucharistie dans sa main mais ne l’a pas consommée.
Seuls les catholiques pratiquants baptisés sont autorisés à recevoir la Sainte Communion. Contrairement aux catholiques, la dénomination baptiste n’a pas la présence réelle du Christ dans l’Eucharistie comme le fait l’Église catholique. La doctrine baptiste ne prétend pas que Jésus est véritablement présent dans l’Eucharistie des églises catholiques.
Après la messe, la femme baptiste a porté la sainte communion chez elle. Cependant, elle a commencé à se sentir coupable de profanation et a passé une nuit agitée. Le lendemain, dès l’aube, elle se rendit chez son amie catholique et lui expliqua toute la situation.
Son amie catholique a essayé de contacter le curé de la paroisse en ligne, mais n’a pas réussi à le joindre ; elle appela donc la sœur carmélite responsable et la Sainte Hostie fut rendue à l’église. La dame baptiste était triste et s’est excusée.
À l’église du Mont Carmel, le P. Johnson prit l’hostie consacrée, la brisa en morceaux, la garda dans une burette remplie d’eau bénite et la plaça à l’intérieur du tabernacle pour la dissoudre.
C’est la coutume générale de l’Église. Le prêtre peut soit consommer l’hostie, soit la dissoudre révérencieusement dans l’eau et verser l’eau dans la terre ou dans le sacrarium. Environ deux jours plus tard, le père Johnson vérifia l’hostie.
À sa grande surprise et choc, l’hôte est resté le même. Il le replaça ensuite dans le tabernacle. Environ trois jours plus tard, l’hôte conservait toujours sa forme originale. Il a fait cela pendant environ un mois ou deux.
En raison de son emploi du temps chargé, il a oublié l’hôte. Le dimanche des Rameaux, il reçut un appel urgent de maladie et se souvint de la Sainte Hostie qui ne voulait pas se dissoudre. Il alla vérifier l’Hostie qui, à sa grande surprise, s’était transformée en une goutte noire rougeâtre. Il essaya de briser la couche avec son doigt. Comme c’était une substance dure, il appuya avec force. Lorsqu’il appliqua une force, la couche se brisa et de l’eau et du sang frais commencèrent à couler.
Il a informé d’autres prêtres de l’incident et l’hostie a été conservée pour que le public puisse la voir. L’évêque a envoyé l’espèce pour une enquête et un examen scientifiques.
Et si c’était un miracle eucharistique ?
S’il s’agit d’un miracle eucharistique, alors un vase sacré peut être préparé pour abriter les espèces sacrées et pour l’adoration de l’hostie.
Quelle est la position de l’Église ?
Au moment de cette vidéo, l’Église n’a officiellement rien communiqué. L’Église est prudente, surtout lorsqu’il s’agit d’événements surnaturels comme un miracle eucharistique ou un cas de possession. Le P. Johnson semble croire qu’il a été témoin d’un miracle eucharistique.
Répétition de l’avertissement et de la correction concernant cette vidéo : un Host complet placé dans l’eau pourrait mettre des semaines à se dissoudre complètement (et non « 30 secondes » comme mentionné dans la vidéo). Même les petits fragments/particules de l’hôte peuvent prendre 10 à 15 minutes ou plus pour se dissoudre complètement, selon leur taille.
Source perpetualeucharisticadoration.com
