À l’heure où la liturgie est trop souvent devenue un « laboratoire » pour les goûts personnels de prêtres ou de groupes, l’Église semble ouverte à tous, à toutes… et à n’importe quoi. Là où l’homme prétend façonner le culte à son image, c’est Dieu que l’on relègue au second plan.