À la veille de la « visite fraternelle » qui doit avoir lieu dans le diocèse de Bayonne, dont Monseigneur Aillet est l’évêque, le prélat appelle « à ne pas céder à l’agressivité d’aucune sorte, ni à la rancœur ni à la vengeance ». et de rajouter « Il n’est pas question pour moi de rentrer dans une quelconque amertume vis-à-vis de quiconque. »
Revenant sur le motif de cette « visite fraternelle » , Monseigneur Aillet a indiqué :
» Il s’agit sans doute de plaintes adressées au Saint Siège par des fidèles dont certains se sont constitués en collectif. J’ai pu rencontré trois représentants de ce collectif qui m’ont fait part d’un certain nombre de plaintes concernant la liturgie dans le diocèse , la gouvernance et les ressources humaines, les finances du diocèse et aussi la question du rapport de l’Eglise avec la société… »
« J’ai accueilli cette demande avec ouverture d’esprit et bienveillance »…
Puis après un lapsus peut-être révélateur, il a affirmé que « nous ne pouvons pas rendre le mal pour… » se reprenant, l’évêque affirme « nous ne pouvons que rendre le bien pour le mal… » ( 3’38 »).
L’évêque de conclure : « Nous restons dans la paix et la communion et c’est l’attitude dans laquelle le Seigneur me maintient. »
Nous suivrons de près les décisions « fraternelles » de cette visite toute « fraternelle »..