Le Samedi Saint : un silence aimant
Le silence du Samedi saint n’est pas un vide inutile, il nous déleste de nous-mêmes pour découvrir en nous la présence de Celui qui nous conduit au Père par l’Esprit.
Le silence du Samedi saint n’est pas un vide inutile, il nous déleste de nous-mêmes pour découvrir en nous la présence de Celui qui nous conduit au Père par l’Esprit.
Le Jeudi saint marque le début du Triduum pascal, qui célèbre la Passion et la Résurrection du Christ .
L’abbé précise que la Fraternité travaille ” conjointement avec le diocèse ” sur ce dossier. Rappelons que l’église Saint Clément de Nantes abrite plus de 1000 fidèles de la Fraternité Saint Pierre
La rencontre avec Don Bosco: ” Voulez-vous m’aider à devenir Saint ?”
Le 14 mars le pape François a autorisé la promulgation du décret en vue de la béatification de Camille Costa de Beauregard.
C’est une tradition entamée depuis le début de son pontificat de passer le Jeudi Saint dans des lieux symboliques de souffrance et de renaissance.
La foi et la détermination de Quentin ne furent pas vaines. Sur le lieu même de son martyre, une ville fut érigée en sa mémoire, Augusta Veromandum, qui fut par la suite renommée Saint-Quentin.
Ayant présidé le concile de Palestine,et vivant jusqu’à 116 ans, il a marqué de son empreinte la communauté chrétienne, invitant constamment à la concorde et à la paix.
Nous sommes loin de certaines ” grosses têtes ” du synode
La prière est à l’âme ce que la nourriture est au corps.
Certes, il y a un grand profit dans la religion si l’on se contente de ce que l’on a. De même que nous n’avons rien apporté dans ce monde, nous n’en pourrons rien emporter.
En 1262, le roi Saint Louis IX offrit à l’abbaye une épine de la couronne du Christ.
Au retour de ses extases il s’excusait auprès de ses compagnons en disant : “Excusez-moi pour ces crises de vertige… »
“Quant à nous, nous sommes chrétien, et nous devrons donc rendre compte à Dieu de notre propre vie ; mais nous sommes en outre évêque, et nous devrons donc rendre compte à Dieu de notre gestion.”
Il y a deux ans, lorsqu’il apprenait sa maladie, il disait souvent : « je veux vivre, mais pas survivre ».