L'unanimité était de mise parmi eux, tous exprimant fermement leur opposition à toute forme de légalisation de ce qu'ils appellent une "aide à mourir".
"Nous sommes très prudents sur la nécessité d'une loi. La loi Claeys-Leonetti répondait à beaucoup de nécessités, l'enjeu est de la faire vivre davantage",
D'après des représentants des cultes, le chef de l'État aurait mentionné la création d'une loi sur les soins palliatifs et d'une autre sur l'aide active à mourir.
Les évêques ont rappelé l'importance des soins palliatifs et de l'accompagnement spirituel dans ces situations difficiles, soulignant qu'il ne faut jamais agir avec l'intention de mettre fin à une vie humaine.
Depuis 1999, le législateur développe trois axes : l’accès aux soins palliatifs, la coresponsabilité médecin-patient, la prévention de l’acharnement thérapeutique.